certes, les couleurs ne sont pas naturelles : l’herbe sèche au ras du sol (rien à voir avec de la moquette...) était d’une grisaille certaine. On sature les couleurs (un peu de fantaisie !), et voilà l’éphippigère dans un décor psychédélique qui n’enlève rien à son aspect redoutable. A l’arrière de l’abdomen, la femelle possède un rostre, qui lui sert de tarière pour déposer sa ponte, le mâle n’en a pas.